Alors que le problème de surplus de poids me concerne depuis mon adolescence avec des variables qui sont restées assez raisonnables parce que je fais attention à manger le plus sain et naturel possible, je constate que beaucoup de jeunes filles et garçons sont réellement obèses très jeunes et paraissent soufflés comme des choux à la crème…
Il va sans dire qu’en plus du manque d’activités physiques, que l’alimentation courante actuelle est véritablement un poison pour le corps, que les sodas et autres boissons sucrées et restauration rapide y sont pour quelque chose.
Dans les supermarchés, le rayon des Yaourts et produits laitiers est toujours impressionnant à regarder et il y a des nouveautés régulièrement. Entre les kilos de sucre et de graisse qui sont proposés sous forme de laitages et crèmes diverses, il y a aussi des laitages comparés dans la publicité à des ‘mécilalents’… dont les fameux Actimel et Activia de chez Danone.
Or d’après Didier Raoult, professeur de microbiologie, il semble qu’ils soient à la source d’une partie de l’obésité actuelle de ces consommateurs, entre-autres sucreries et ‘glutamateries’ et dérivés du maïs transgénique qui sont un peu partout dans les mets préparés et petits déjeuners croustillants…
Revenir à une alimentation le plus près possible que ce que la nature donne est la clé de la bonne santé.
Côté laitage, car nos intestins ont besoin de probiotiques pour une bonne digestion pour faciliter la fermentation et stimuler le système immunitaire, des Yaourts nature biologiques, au lait de brebis, de soja ou de riz semblent meilleurs pour la santé.
Et rien de vaut une bonne pomme ou un bon fruit de saison, bio et sain pour un bon dessert et une bonne marche rapide pour aider à digérer et affiner la silhouette.
‘Une pomme (bio) par jour, éloigne le médecin pour toujours’… ou encore ‘Bonne pomme (bio), belles dents !’…
Joéliah
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Le » pavé dans le pot de yaourt » qu’a lancé Didier Raoult*, chercheur français, dans la prestigieuse revue scientifique
«Nature» de septembre 2009 a fini par être payant.
Pour le patron du labo de virologie de la Timone à Marseille, les yaourts et autres boissons lactées farcis aux probiotiques NON NATUREL que l’on nous fait avaler depuis près de 20 ans auraient une grosse part de responsabilité dans l’épidémie d’obésité qui frappe les enfants.
Les probiotiques que Danone ajoute à tout va dans divers yaourts sont selon les allégations de la marque assénées à la télévision, censées « booster » les défenses immunitaires. On en trouve plus de 1 milliard par pot d’Activia ou d’Actimel. Le hic est que ces bonnes bactéries « actives et vivantes », dixit Danone, sont les mêmes que celles utilisées depuis longtemps dans les élevages industriels comme activateurs de croissance pour faire grossir plus rapidement cochons et poulets.
Un porc ainsi gavé de probiotiques, c’est plus de 10 % de gagné sur la balance.
Danone pousse donc à « élever » nos enfants comme des cochons ou des poulets !
En fait, en début d’année, des chercheurs ont eu l’idée de comparer la flore intestinale des obèses et des non obèses.
Et là, surprise, les premiers étaient bourrés de probiotiques, ceux qu’on trouve justement dans les yaourts « santé plus ».
Didier Raoult commente : « On a autorisé pour l’alimentation humaine des activateurs de croissance utilisés dans les élevages, sans chercher à savoir quel serait l’effet sur les enfants ».
Du coup, celui-ci a réclamé des études pour connaître le rôle précis de TOUS les produits lactés dans l’épidémie d’obésité infantile.
En outre, il n y a pas que les enfants qui sont victimes de cette supercherie. « J’ai rencontré de nombreuses femmes potelées bien que sous alimentées, et qui cherchaient désespérément à maigrir en se limitant à quelques yaourts par jour plus quelques babioles».
Et désespérante désillusion, elles continuaient à grossir, étaient de plus en plus fatiguées et fragiles, surtout en hiver où il est indispensable de se YANGUISER, alors que les yaourts sont hyper YIN.
* DIDIER RAOULT est professeur de microbiologie et spécialistedes maladies infectieuses. Il dirige l’Unité de Recherche en Maladies Infectieuses et Tropicales Emergentes (URMITE) de Marseille. Le Grand Prix Inserm 2010 lui est décerné à 58 ans pour l’ensemble de ses travaux sur les agents pathogènes et sa découverte des virus géants.
Source du texte original inconnue.