Au compost : Les chemtrails polluants.

Transmis par Joeliah le 7 - novembre - 2014

Voilà des années que je parle de ces traînées chimiques qui se manifestent de temps en temps au dessus du jardin, et désormais, c’est moins voyant… la nuit… dès minuit, les bruits des avions se font entendre et le matin, des nuages étranges restent pendant des heures avant de s’évacuer. Lorsqu’il n’y a pas d’avion… pas de nuage ou alors de vrais nuages de vapeur d’eau très différenciables.

Voici un article complet de Michel Dogna dans la revue Alternative santé nr 117

LES CHEMTRAILS, VOUS Y CROYEZ, VOUS ?

ChemtrailsPlaisance11Peu de gens se soucient de ce qui se passe au dessus de leur tête. Pourtant, il s’y passe des choses étranges et inquiétantes depuis plus de dix ans en France et en Europe, et depuis plus longtemps encore aux Etats-Unis. C’est ainsi que d’une façon régulière, on peut observer haut dans ciel au-dessus des grandes villes de larges quadrillages de traînées d’avions, qui stagnent des heures et se rejoignent lentement en une couche laiteuse diminuant notablement la luminosité du ciel. On appelle cela les chemtrails (prononcer Kemtrails), des « traînées chimiques ».

Aux curieux, il est répondu que c’est un phénomène naturel de condensation par le froid de la vapeur d’eau résultant de la combustion des réacteurs d’avions en haute altitude dans certaines conditions météo ; et monsieur tout le monde rentre chez lui tranquillisé. Pourtant, il y a quelques années, on ne voyait jamais dans le ciel cette persistance des traînées blanches. Pourquoi ?
De fait, les avions « honnêtes » laissent derrière eux une traînée blanche, mais qui ne persiste que quelques minutes. Pour comprendre ce processus, il suffit de revenir à la définition du point de rosée. Il s’agit de la température à laquelle il faut refroidir un volume d’air, à pression et humidité constantes, pour qu’il devienne saturé en vapeur d’eau, ceci donnant lieu à la formation de microgouttelettes d’eau (comme la rosée)
C’est ce qui se passe à la sortie de l’air très chaud des réacteurs qui est saisi par l’ambiance atmosphérique moyenne de -50° à 35 000 pieds d’altitude.
Mais dès que la pression et la température se diluent et s’homogénéisent dans l’atmosphère, on se retrouve rapidement en dessous de la valeur du point de rosée, et les gouttelettes repassent à l’état de vapeur – ce qui n’est pas le cas pour les chemtrails qui perdurent des heures entières. Ceci prouve que les chemtrails ne sont pas faits de vapeur d’eau.
Mon témoignage personnel :

Au mois de mai dernier, pendant diffusionun vol au petit matin en tant que passager, nous avons aperçu par le hublot avec mon épouse, un quadriréacteur qui nous croisait à un niveau en dessous, c’est-à-dire 1000 pieds réglementaires (300m), et dont s’échappait une épaisse fumée blanche….de l’arrière de la carlingue, alors que rien ne s’échappait des réacteurs. Bizarre !!! Non ?

Un ingénieur allemand témoigne en public

On peut voir en vidéo sur YouTube

le témoignage de cet ingénieur aéronautique qui milite maintenant dans une association en faveur de la paix.

« Je travaillais sur la base militaire spéciale d’Oberpfaffenhofen où nous installions dans un avion un matériel destiné à effectuer des pulvérisations dans le ciel. Nous devions vider tout l’avion, installer les réservoirs, et effectuer tous les branchements. J’étais là en tant que civil sous contrôle militaire. Quand nous avons eu terminé, on nous a dit que c’était un test conduit par l’aéronautique et l’administration de l’espace allemand. Cet avion ainsi équipé était soi-disant destiné à voler devant un deuxième avion qui devrait prendre des mesures… Quelque chose comme : nous voulons seulement savoir comment les particules épandues se comportent et se propagent dans le ciel.
Après avoir terminé les installations, des gars de l’armée sont venus nous conseiller de mettre des combinaisons de protection pour tout le corps et des masques à gaz parce qu’ils allaient remplir les réservoirs avec des substances comme du sulfure d’aluminium et des oxydes de baryum, et aussi des polymères de nanoparticules hautement toxiques.
Scandalisé, je suis allé voir le représentant local du parti écologique, avec la preuve en main du fait que les populations allaient être traitées ni plus ni moins que comme des insectes nuisibles. Je lui ai dit que j’étais prêt à témoigner devant une commission d’enquête… Ce qui s’est passé ensuite, c’est que mon patron, trois jours plus tard, est venu me voir chez moi, et m’a dit : « Je suis désolé, mais je dois vous licencier. Je reçois tellement de pressions du haut de la hiérarchie que je ne peux plus tenir ».
Depuis, je ne peux absolument plus trouver de travail dans l’aéronautique. Je tiens à préciser que nous nous dirigeons vers une catastrophe écologique. Et à ceux qui ne me croient pas, s’il vous plait, venez voir et je vous montrerai la preuve de tout ce que j’avance. Je répète : je suis prêt à témoigner devant toute commission d’enquête. »

Qu’est-ce que la géo-ingénierie ?
Ce que l’on appelle la géo-ingénierie a officiellement deux buts. D’une part, la manipulation du climat pour soi-disant contrecarrer les effets du réchauffement climatique dus à l’émission de gaz à effet de serre, et d’autre part la protection des populations contre les rayons solaires qui ne seraient plus suffisamment filtrés par la couche d’ozone défaillante.
La technique utilisée est l’épandage aérien avec des aérosols classés « top secret ». A noter que ces aérosols ne font l’objet d’aucune autorisation légale et n’ont été votés par aucun pays États concernés par les épandages aériens. Non seulement cela, mais les gouvernements feignent d’ignorer l’existence des avions épandeurs et nient avec véhémence cet état de fait. Bien sûr, les médias officiels restent muets sur ce sujet.

Il n’y a qu’en Serbie que le président du mouvement écologique Nicolas Aleksic s’est levé pour accuser le gouvernement de complicité de génocide par empoisonnement collectif. Il veut savoir qui sont les traîtres ayant donné le feu vert à cet empoisonnement organisé. Il en appelle à l’armée pour abattre ces avions épandeurs de maladies et de mort, et demande au Procureur général serbe d’engager immédiatement des poursuites contre les responsables de cette autorisation violant la Constitution qui s’engage à protéger le peuple.

Des retombées suspectes
Depuis plusieurs années, nombreuses sont les personnes de différentes régions qui témoignent de l’existence de retombées récurrentes du ciel dans leurs jardins, de milliers de filaments en polymères blancs. Là encore, il y a des vidéos partout .

Ces semeurs d’alerte s’inquiètent à propos de la salubrité de leurs légumes, ainsi que de pathologies nouvelles qu’ils subissent souvent au niveau des bronches ou de la peau. Est apparue récemment une maladie appelée la morgellose qui, bizarrement, se traduit par l’apparition de plaies sur la peau et de petits fils blancs qui en sortent. Y a-t-il un lien avec les chemtrails ?

A Miserey-Salines dans le Doubs, un habitant a fait procéder par le laboratoire Qualio de Besançon, à des analyses d’eau de pluie recueillie tous les 8 mois environ au même endroit et dans des conditions similaires. Le résultat est fort préoccupant puisqu’il atteste d’une augmentation de 800% du taux d’aluminium en 16 mois (environ 9 fois plus) et d’une augmentation de 100% des taux de baryum, strontium et titane en 8 mois (2 fois plus).
Ces résultats d’analyse ont fait l’objet d’une communication au maire de Miserey-Salines, lequel a transmis ce rapport d’analyses à l’Agence Régionale de Santé (ARS-Besançon)
Des alertes officielles se multiplient, mais sans réaction au niveau des autorités

Pétition au Parlement européen.
Film documentaire sur la géo-ingénierie projeté en avril 2013 au parlement européen.
Question à l’Assemblée nationale par le député Joël Giraud.
Article dans le journal Nexus.
Courrier au député du Doubs.
Extrait du rapport Case Orange Belgique sur les techniques de manipulation du climat.

Des analyses officielles incontournables

Les analyses réalisées par le laboratoire AnAlytika représentent le chaînon manquant pour prouver de manière irréfutable à la fois la réalité et la dangerosité des Chemtrails. Les résultats sont éloquents. Il faut noter que le coût des analyses a été supporté par les citoyens, car les autorités se moquent éperdument de la santé publique. Au contraire, on peut affirmer sans l’ombre d’un doute qu’ils participent activement à cette mascarade.
Heureusement, certains députés, comme Gérard Bapt, ont déjà fait part du problème à l’Assemblée nationale fin 2012. C’est l’association citoyenne pour le suivi, l’étude et l’information sur les programmes d’interventions climatiques et atmosphériques (ACSEIPICA) qui avait attiré l’attention de ce député sur les résultats de ces analyses afin qu’il en parle à l’Assemblée nationale. Mais il ne faut pas s’y tromper, des sujets sensibles sont régulièrement abordés à l’Assemblée (comme la toxicité de l’aluminium vaccinal) et les réponses évasives du ministère de la Santé ont à chaque fois conduit à enterrer les polémiques pour passer à autre chose…

Les conclusions des analyses du laboratoire.
On retrouve des composants non identifiés, ce qui montre bien que de la recherche militaire a été pratiquée pour mettre au point certain de ces composants qui sont inconnus du monde scientifique actuel. Les différents composés organiques engendrés dans une série de huit expériences ont chaque fois été séparés par chromatographie gazeuse et identifiés par spectrométrie de masse (GC/MS). Tous les échantillons étudiés contenaient plusieurs composés aromatiques toxiques synthétiques (phtalates) et trois d’entre eux contenaient du DEHP, un représentant de cette famille de produits chimiques particulièrement redouté à cause de ses propriétés de perturbateur endocrinien.

Toutes les molécules organiques, en particulier les composés hétérocycliques, présents dans ces échantillons de filaments aéroportés, sont préoccupantes, à la fois sur le plan de la santé publique et celui de leur impact environnemental. Ce rapport, ainsi qu’une lettre de l’ACSEIPICA et une déclaration du comité scientifique italien Galileo qui confirme la présence de métaux toxiques dans les prélèvements ont été envoyés, entre autre, au ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’énergie et à celui de la Santé. On ne pourra donc pas dire qu’ils n’étaient pas au courant !

Michel Dogna

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