L’homme sage qui a compris « qu’en arrêtant de se taper sur le doigt avec un marteau, ça lui faisait du bien », cherche des solutions pour être dans la phase calme, le plus longtemps possible.
Après avoir expérimenté de multiples voies pour retrouver son calme et sa zénitude, à un moment donné arrive ‘sa’ voie, celle qui lui ouvre la porte à l’immensité de son être réel.
La nature nous donne de multiples exemples pour nous indiquer ces voies, mais souvent, perdus dans nos pensées, nous ne les voyons pas.
Pour trouver ce centre de gravité en nous, cet espace de neutralité qui ouvre la porte de l’infini, il suffit d’Être en union avec cet infini.
Être, telle est la divine réponse pour que l’esprit vive à travers nous en toute puissance. Certes, mais à condition de ne pas oublier notre nature physique matérielle.
Comment Être zen, si l’on souffre ou si l’on pense négativement et que les effets de ces actions mobilisent notre attention sur notre corps ou nos émotions ?
Être en état de vide dans le centre, le point zéro, le coeur, le point de rencontre abscisse/ordonnée demandent que nous soyons neutres dans l’action matérielle.
Dans la nature humaine, tant que « l’avoir » est en manque, le « faire » doit le combler pour arriver à trouver le point de plénitude.
Par exemple, une personne qui débute en exercice, veut bien méditer pour atteindre ce point, mais elle n’a pas déjeuner.
Elle se met en état de relaxation, respire bien, s’enracine à la terre et commence à faire le vide dans ses pensées, et là, son ventre gargouille et son estomac commence à se serrer.
Et son attention va être occupée par cette tension du corps et l’empêcher de se centrer.
Au bout de quelques minutes, si son ‘deuxième cerveau’ qui est au niveau du ventre, réclame plus fortement, elle sera obligée d’aller manger et laissera peut-être tout tomber en pensant : « Ce n’est pas pour moi’…
Si son corps, avait reçu juste ce qu’il lui fallait pour le rendre zen, elle aurait pu se consacrer à son centrage facilement.
Un homme normal qui meurt de soif dans le désert et qui veut trouver la zénitude, doit d’abord boire pour nourrir son corps.
Impossible de dire avec authenticité à une personne qui meurt de faim ou qui souffre le martyr dans son corps : ‘le paradis est en toi, centre-toi et tu n’auras pas faim ou ne souffrira plus’… même si c’est une vérité de l’être réel agissant !
Il faut d’abord nourrir son corps physique pour qu’elle trouve sa paix car les barrages de la souffrance bloquent le flux de l’énergie divine.
Aujourd’hui, la mode est de dire que les pensées positives ne servent à rien et même qu’elles entretiennent les pensées négatives, qu’il ne faut plus ‘faire’ d’exercices, mais Être tout simplement. Voire même que l’amour est mauvais puisqu’il s’oppose au non amour et qu’il faut trouver le vide intemporel pour vivre heureux.
C’est de l’enseignement de 5ème dimension qui s’adresse, (parfois avec des termes critiques de 3ème dimension) à des personnes déjà élevées en 4ème parce qu’elles ont justement déjà fait un beau cheminement intérieur de nettoyage de karma, de libération de mémoires, d’exercices de nettoyage mental, émotionnel ou physique et d’autres actions libératrices.
Une personne qui a l’habitude de critiquer, râler, être en colère, insulter, dénigrer ou se moquer des autres et donc d’elle, ne peut pas ‘Être’ rayonnante par le simple fait de trouver ce point zéro puisque l’autre côté n’est pas nourri.
Pour trouver ce point central, tout comme une balance doit être équilibrée en son centre, il lui faut mettre des poids de l’autre côté de la balance pour faire remonter l’autre côté ou libérer ses poids et laisser faire naturellement la loi de l’équilibre.
Tous les exercices de libération des mémoires toxiques, ceux qui permettent de faire tomber les masques égotiques, de guérir les blessures de l’âme par le respect et l’amour de soi, libèrent les poids négatifs.
D’un autre côté, pratiquer des exercices positifs ajoutent du poids sur l’autre côté et permettent de remonter plus vite cet équilibre.
A condition de ne pas tomber dans l’erreur de ne vouloir être que positif et passer sa vie à vouloir à tout prix combattre l’autre côté !
Sinon, passé le point d’équilibre, les forces vont s’inverser et ce qui paraissait bon, devient lourd à son tour.
C’est là que la pratique quotidienne du centrage intervient et peut permettre de trouver cet équilibre quasi permanent dans notre vie.
Un petit excès d’un côté… un centrage, un réajustement et tout redevient équilibré.
Une colère… un centrage… une question : pourquoi ‘Je’ me suis mis en colère ?’… compréhension d’un programme a éliminer, contrition responsabilisée, pardon, libération, action de grâce et tout redevient équilibré.
J’ai écris plusieurs livres afin de vous donner des exercices très simples, à la portée de tous, pour libérer les poids d’un côté et remonter le taux énergétique de l’autre côté : ‘Le manuel du déliement karmique’, ‘le carnaval des âmes’ ou ‘Être ! telle est la divine réponse’ (en vente à la boutique).
Également, la mise en pratique de résolutions simples telles qu’indiquées dans ‘l’éphéméride angélique’ sont des aides quotidiennes pour se rappeler d’agir au quotidien pour nourrir le corps, l’âme et l’esprit et pouvoir se centrer en paix.
Que le meilleur soit !
Joeliah