NON ? ALORS REGARDEZ-LA SOUS CET ANGLE : (par Michel Dogna).
Je voudrais ici aborder un aspect de la pensée dont pratiquement personne ne se préoccupe. Toute notre culture philosophique, scientifique, religieuse, sociale est uniquement figée sur ce qui est pensé, dit, écrit. Mais jamais personne ne se soucie de ce qu’est réellement la pensée, de quoi elle est faite. En fait, nous avons à notre disposition un outil dont nous ne savons rien, et dont on ne nous a même pas appris le mode d’emploi. Ceci est tellement vrai que nous réussissons même à nous rendre malades, voire nous détruire sans le faire exprès. Personne ne peut le nier. Je vous propose donc une autre vision de la pensée.
Il y a des décennies que la science parapsychologique a défini la nature des pensées en tant qu’ondes électromagnétiques fonctionnant sur des fréquences particulières. Chacun d’entre nous peut les capter plus ou moins télépathiquement inconsciemment, surtout lorsque le mental est au repos. À noter que les animaux sont très entraînés à fonctionner comme cela, vu qu’ils ne disposent pas de la parole pour communiquer.
Tout être vivant émet et reçoit en permanence des flots continus de pensées.
Par souci pédagogique, comparons la pensée à un parfum que chacun exhale en continu. À la différence des fleurs, nous avons des pensées qui sentent bon et des pensées qui sentent mauvais – pas besoin de faire un dessin ! Ceci en remarquant néanmoins que 80 à 90% de nos pensées sont inodores. Ce sont les pensées dites domestiques. Exemple : « Qu’est-ce qu’on mange à midi ? » C’est ainsi qu’il y a des gens auprès desquels on est bien, voire qui rechargent notre vitalité, et d’autres auprès desquels on est mal, voire qui nous pompent notre énergie.
Chaque pensée est comme une bulle de savon.
Les pensées qui sentent bon font des bulles qui montent rapidement dans le ciel, rayonnant pour le bénéfice général, alors que les pensées nauséabondes engendrent des bulles « puantes » qui restent plaquées au sol, polluant l’environnement, et dont la première victime est déjà l’émetteur. Mais il y a un autre aspect à prendre en compte : le temps de vie d’une bulle. Un bulle de pensée est en fait un réservoir qui contient du carburant – elle éclatera lorsqu’elle aura consommé tout son carburant. Et c’est quoi le carburant ? C’est tout simplement l’émotion que l’on a mise dans la pensée. Tous les artistes savent cela quand ils interprètent. Réfléchissez bien à cela : pas d’émotion, votre train de bulles éclate en quelques minutes ; un peu d’émotion, elle éclate en quelques heures, jours ou semaines ; beaucoup d’émotion, elle perdure des mois, des années voire des siècles. À noter que l’émotion peut être aussi bien positive (félicité, bonheur…) que négative (peur, douleur…). Un événement fort que vous racontez des années après peut vous tirer à chaque fois des larmes, parfois communicatives à votre auditoire.
L’odeur des pensées fortes s’imprègne dans les murs, les lieux et les objets.
Il y a des maisons, des bijoux, même des voitures qui portent la poisse, voire qui minent votre santé. Attention aux vieilles maisons qui ont enregistré des ambiances malsaines, des violences ou encore un suicide ou un crime. Dans le midi, il y a de nombreuses vieilles demeures qui ont connu des atrocités durant les guerres de religion. C’est comme des odeurs imprégnées dans les murs.
Les pensées de même nature fusionnent entre elles.
Elles fonctionnent comme les billes de mercure qui s’attirent et se fondent pour former une boule de plus en plus grosse. Concernant les pensées, cela s’appelle des « égrégores », qui sont en fait des sortes de banques spécialisées. C’est ainsi que l’on distingue :
Les égrégores blancs que l’on peut assimiler à de beaux nuages majestueux, hauts dans le ciel chargés de belles pensées de paix, d’amour et d’harmonie.
Les égrégores gris que l’on peut assimiler à des nuages bas de grisaille, chargés de tristesse, de chagrin, de peurs.
Les égrégores noirs que l’on peut assimiler à de la fumée noire au ras du sol, chargés de haine, de violence, de colère, de guerre, d’atrocités…
Nota : il n’y a pas d’égrégores pour les pensées domestiques qui sont dépourvues d’émotion, donc à vie très courte.
Chaque grande idéologie crée un égrégore (religions, partis politiques, grands dogmes, etc.). Comme les banques, plus les égrégores sont gros, plus ils sont puissants. Il y a même une masse critique qui peut déclencher la survenue d’événements. Les outils télévisuels sont utilisés largement pour alimenter les égrégores politiques.
La pensée peut fonctionner hors du corps physique.
Voilà les dernières preuves scientifiques qui dérangent énormément les matérialistes indéfectibles : la conscience fonctionne en dehors du corps. On sait que des dizaines de milliers de personnes, accidentées ou en blocs opératoires, ayant été constatées en état de mort clinique (arrêt cardiaque et électro encéphalogramme plat), sont miraculeusement revenues à la vie. Elles ont ensuite décrit des scènes précises qui se sont déroulées autour de leur corps inerte qu’elles contemplaient, avec indifférence, de l’extérieur. Ces cas multiples se nomment EMI (états de mort imminente) ou en anglais NDE (near death experience). Il semble évident qu’il se dégage du corps physique un double d’énergie pure qui est en fait le véritable siège de la conscience et de la pensée. Il existe sur le marché une littérature de plus en plus importante concernant ce sujet, sur des enquêtes anecdotiques de la part de médecins, chirurgiens et journalistes sérieux. Ceci amène une avancée pragmatique sur la question : « La conscience survit-elle après la mort ? »
La conscience ne s’arrête jamais.
Pour ceux qui ne sont pas pudiquement pétrifiés devant cette incontournable réalité, il est légitime de s’intéresser à cet avenir commun à tout ce qui vit : l’après-mort. Après les grands classiques tels Edmond Moody, Kübler Ross, Patrice Van Eersel, et autres, il y a une nouvelle génération documentaire, dont l’excellent ouvrage de Stéphane Allix, Le test : Une expérience inouïe, la preuve de l’après-vie ? (2015, Ed. Albin Michel). Mais celui qui paraît être actuellement le meilleur spécialiste du sujet est sans conteste le Dr Jean-Jacques Charbonier, anesthésiste réanimateur, qui a analysé vingt ans durant de très nombreux cas de NDE. Parmi ses passionnants ouvrages, Les preuves scientifiques d’une vie après la vie (2008, Ed Exergue) apporte concrètement les éléments qui confirment maintenant la continuité et l’immortalité de notre conscience après la mort physique.
Nota : Il est regrettable qu’aucune religion n’ait apporté – à part des histoires style contes de fées pour enfants – d’éléments tangibles pour aider les gens devant ce grand mystère de l’après-vie : « Est-on réellement conscient après la mort ? » Contre toute attente, c’est la science qui, lorsqu’elle abandonne ses a-priori, apporte la réponse : OUI. Rappelez-vous la fameuse formule « je pense donc je suis ». Si je pense pour toujours, c’est que je suis pour toujours… Ce sera ma conclusion !
Michel Dogna
Nota de Joéliah : les pensées ou émanations d’intention envoient des phéromones qui contiennent des informations très spécifiques.
Les animaux sont très sensibles à ces émanations glandulaires et savent détecter instantanément si une personne est bienveillante ou malveillante envers eux, si elles sont en colère ou en paix… d’où le comportement étonnant parfois de certains animaux qui semblent reconnaitre les bonnes personnes parmi des dizaines et qui vont instinctivement vers elles.
Entre eux, les animaux de même espèce communiquent par ces phéromones issues des émanations d’intention.