Dans la suite du livre ‘la Vie des Maitres’, écrit vers 1895, Bird Spalding donne ces précisions dans le livre ‘Ultimes Paroles’.
‘Je suis’ est la seconde expression dans le langage. Il signifie l’acceptation complète que vous êtes Dieu.
Dieu, Je Suis. Le mot Dieu est le premier par sa vibration plus élevée. Ensuite, son acceptation se traduit par ‘Je suis’.
Si Dieu est le Principe, Je suis en est la manifestation…
Lorsque nous disons ‘Je suis Dieu’, nous inversons le processus. Nous mettons alors la création avant le principe créateur.
Inversons la formulation en disant : Dieu (la source de tout ce qui est), Je suis…
Le scientifique Bird T. Spalding publie « La vie des Maîtres ».
C’est le récit de son aventure initiatique et de ses rencontres avec les grands maîtres. Ils sont ceux qui guident avec sagesse les destinées de l’humanité.
Ce recueil permit à l’Occident de s’initier à la sagesse et à la philosophie orientale.
Il écrivit des enseignements reçus en Inde, au Tibet et au Népal.
Avec, il fit rêver plus d’une personne sur le sens de la vie.
Dans les treize leçons sur la vie des Maîtres, il aborde les questions fondamentales de l’être. Il livre quelques réponses afin que chaque humain puisse adapter sa vie en fonction de principes puissants. Ceux qui ont permis aux hommes inspirés par Dieu de parvenir à la maîtrise spirituelle.
Il est sans doute l’un des précurseurs de l’apport de la sagesse des maîtres en occident.
Extrait de ‘la Vie des Maitres’
Il n’est personne de plus étranger à l’homme que lui-même. S’il veut connaître cet étranger, qu’il rentre dans son cabinet de travail et ferme la porte.
Il y trouvera son plus dangereux ennemi et y apprendra à le maîtriser.
Il y trouvera aussi son véritable moi et son ami le plus fidèle. Son maître le plus sage et son conseiller le plus sûr… encore lui-même.
C’est l’autel où brûle la flamme éternelle de Dieu, la source de toute bonté, de toute force et de toute puissance.
Alors, il saura que Dieu réside au plus profond du silence.
C’est là aussi, au fond de soi, que réside le Saint des Saints.
Là où tout désir de l’homme existe dans la Pensée de Dieu et se confond alors avec un désir de Dieu.
On y connaît l’intimité des relations entre Dieu et l’homme, entre le Père et le Fils, entre l’esprit et le corps.
Et l’on y voit que la dualité apparente n’existe que dans la conscience humaine. Car, en réalité, il y a unité.
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Alors, si ce n’est déjà fait, je vous conseille vivement de lire ou relire ce livre. Car c’est un vrai cadeau d’éveil pour l’humanité.
Joéliah