Qui aime… aime.

Transmis par Joeliah le 10 - juin - 2012

En troisième dimension, celle où règne la vibration de séparation et donc de comparaisons possibles, il y a un dicton qui dit ‘Qui aime bien, châtie bien’.
Punir devient alors une forme d’amour dévié de la source.

En punissant, l’auteur se croit supérieur et pense corriger celui qui pousse mal pour lui faire retrouver le chemin qu’il pense être droit à sa connaissance.

Pire, l’humain exige souvent d’une personne, d’un enfant ou d’un animal, ce qu’il ne représente pas. Il ne comprends pas que le miroir d’âme que lui renvoie ce partenaire de jeu de vie. L’autre représente le méchant, le mauvais mais en réalité, c’est le programme intérieur qui vibre sur cette fréquence et qui attire à lui de telles expériences.

Nous attirons ce que nous vibrons. Cela ne veut pas dire que nous sommes responsables des actions des autres. Cela leur appartient. Nous sommes seulement responsables d’avoir une vibration semblable. Par exemple une frustration d’amour peut attirer du rejet ou des critiques. La peur du manque peut attirer des voleurs. La peur de souffrir ou voir souffrir peut attirer des violents dans le champ de vision ou contre soi, etc.

Si l’on observe la nature, on s’aperçoit qu’il y a une réelle façon pour elle de redresser ce qui a été bousculé par les épreuves du temps : l’appel de l’amour de la lumière.

Des milliers d’arbres tombés se redressent naturellement et continuent leur pousse vers le ciel devenant souvent plus forts.

Ici dans le jardin, un arbre à été foudroyé il y a quelques années. Le tronc principal a été sectionné et dans un miracle de vie, quatre nouvelles branches sont nées de cette souffrance. Bien sur qu’il restait assez de force de vie pour lui donner cet élan.

La lumière éclaire et guide vers le soleil.

Chez l’homme, elle représente ce qui est le plus juste possible. C’est une alliance de droiture et de force saine, d’amour, de paix et de respect.

En dimension du coeur, l’homme ne combat pas mais devient le modèle qui guide naturellement celles et ceux qui ont besoin de retrouver un axe principal.

Être guide, tuteur ou parent devient plus facile lorsque l’amour réel est présent, car il y a un réajustement d’âme qui se fait tout naturellement. En observant l’autre comme un ‘homme-dieu’ en évolution, il est plus facile d’élever la conscience.

La première condition est de libérer les traces d’ego et de libérer toutes les souffrances qu’il entretient.

L’ego est un ami à apprivoiser. C’est lui qui tient la personnalité. Il n’est pas à combattre, mais à guider vers plus d’amour et de lumière, naturellement. Et cela commence par s’aimer. Aimer la divinité qui est notre source, et aimer tout ce qui est manifestation de la vie.

Aimer n’a besoin de rien de plus. Aimer bien, c’est réduire déjà l’amour.
Je t’aime… je t’aime bien…  ne porte pas la même vibration.

L’amour va bien au-delà de l’expression. C’est une vibration qui éveille, qui réjouit, qui porte, qui stimule, qui n’attend rien des autres et se suffit à elle-même.

Aimer depuis la Source permet de rayonner naturellement. De libérer le passé pour vivre au moment présent dans la paix du coeur et de l’esprit.

L’amour permet de pardonner et de libérer les autres.

L’amour permet de créer une vie nouvelle, simple, heureuse, en santé et dans l’abondance des richesses de la vie, en toute fraternité et dans la liberté d’être pleinement, qui nous choisissons d’être, en laissant les autres libres d’être qui ils sont, dans leurs propres choix.

Et, tel ce merveilleux arbre lyre de la forêt de Nébias, dans l’Aude, aimer, c’est faire des épreuves du quotidien, une majestueuse ode à la vie.

Car qui aime… aime !

Joéliah