Le meunier et son épouse

Transmis par Joeliah le 11 - août - 2012

L’intention et la conscience que nous mettons dans notre œuvre, à tout moment, fait une grande différence et peut complètement changer la structure moléculaire d’un produit et la notre. Le rire, la joie ou la bonne humeur peuvent permettre de guérir de pathologies parfois lourdes, ou en tout cas, en alléger grandement la souffrance.
Plus nous mettons de légèreté et d’amour dans une action et plus la vie devient légère et agréable.

Djwal Khul, connu dans le monde comme le Maître DK, raconta un jour cette histoire à réfléchir, du meunier et de son épouse :

« Près de la mer vivait un meunier à l’âme paisible. Lui et sa femme travaillaient ensemble à moudre le grain pour les gens de la ville.
Et la rumeur se répandit que dans le pays il n’y avait pas de communauté aussi heureuse que la leur.

Les habitants s’émerveillaient et s’étonnaient, parce qu’ils reconnaissaient que quelque chose d’inhabituel avait dû survenir pour que les membres de cette communauté soient si singulièrement sages et heureux.
Et bien que les habitants de la ville eux-mêmes y soient nés, y aient grandi, y soient devenus adultes et y soient décédés, jamais ils n’avaient pu saisir le mystère.

Ce soir je vais vous le révéler et vous confier ce qui a fait des habitants de cette communauté des gens si heureux et prospères, si joyeux et si sages.

C’est le travail du meunier et de son épouse et l’amour qu’ils mettaient dans la farine.
Cet amour enfoui dans les sacs de farine, transporté sur le dos de ceux qui encourageaient leur moulin, participait à la cuisson du pain.

A chaque repas, le pouvoir régénérateur de l’amour du meunier et de son épouse rayonnait autour de la table et entrait dans le corps physique de ceux qui partageaient le pain.
Alors, comme un pouvoir radioactif, l’énergie de ce vibrant amour du meunier et de son épouse se répandait dans toute la communauté. »

Extrait du livre « âmes soeurs et flammes jumelles » d’Elizabeth Prophet aux Éditions Lumière d’El Morya. Merci Béatrice.

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