Le soleil brille toujours !
Qu’il fait bon voir un beau ciel bleu pur, après quelques jours de grisaille et de pluie.
Le dicton ‘après la pluie, le beau temps’ prend là, toute sa saveur.
Et il en est de même pour nos pensées.
Parfois elles sont embrumées, tristes et nous avons du mal à percevoir l’avenir ou même ce qui va arriver car le brouillard est épais.
Et puis, grâce à un coup de vent de pensées réactionnelles, une douche de lumière avec le rayon violet puis le rayon blanc, et la reprise en main de son autonomie et de ses choix, on s’aperçoit que le soleil n’a jamais cessé de briller.
Le soleil, c’est la puissance de la flamme divine qui nous soutient et nous réchauffe.
Et l’énergie lumière est toujours là aussi.
Et les nuages ennemis deviennent des amis car ils nous aident à aller voir en nous, ce qui crée ces blocages et de faire des choix.
Chaque événement qui parait négatif, est là pour nous tester dans notre foi en l’amour de la vie.
Nous évoluons chaque jour, en vivant le moment présent avec le plus d’attention possible et en libérant rapidement tout ce qui vient interférer dans l’émission de nos pensées.
Nous sommes constamment des émetteurs et récepteurs d’informations qui viennent du monde invisible et créent notre réalité.
Il y a les formes pensées négatives ou abaissant le taux vibratoire, nées en grande partie de la dualité et de la souffrance, et les formes pensées plus élevées qui sont axées sur le bien-être et l’amélioration constante de la vie.
Les premières sont souvent liées à la ‘stacausite aiguë’ propre à l’humain qui n’accepte pas d’être responsable de ce qui lui arrive et reporte toujours la faute sur l’autre, et perd ainsi son autonomie réelle.
« C’est la faute à X si je vais mal ou si le monde va mal »… et donc, « c’est à X de réparer la faute ou d’arrêter pour que j’aille bien ».
Ceci est une action typique de la troisième dimension.
Souvenez-vous de la fable ‘le loup et l’agneau’ ou du diction ‘qui veut noyer son chien l’accuse de la rage’ qui ne datent pas d’aujourd’hui.
On entend parfois : « C’est la faute à mon patron qui a mis un escalier trop raide dans l’atelier et que je suis tombé(e) »… (mais surtout pas à moi qui ai mal mis mon pied…)
« C’est la faute au mauvais temps si on a dû passer une mauvaise journée… » mais pas à moi qui aurait pu organiser une fête à la maison..
Plus l’on donne d’importance à la faute des autres, et plus l’on perd son pouvoir d’être en paix dans la vie.
Mais accuser les autres, c’est refuser l’initiative de se remettre en question et préférer détruire l’ennemi que de se regarder dans le miroir de sa conscience et corriger sa pensée.
Et pourtant ! Oser se dire : et si j’étais comme celui ou celle que j’accuse ? Et si c’était un beau test pour voir qui je suis réellement ?
Et si j’osais changer mon point de vue et me mettre réellement de l’autre côté de la lorgnette ? Qui verrais-je réellement ?
Voilà un beau travail de revalorisation.
Nul n’est dans la tête de l’autre.
Nul n’a la conscience de l’autre et peut savoir ce qui s’y passe.
Il n’est que possible d’extrapoler, d’imaginer ou de se référer à nos connaissances limitées.
Par exemple, les religions sont liées à des dogmes, des écrits qui souvent datent de milliers d’années sans prendre en compte l’évolution de l’humanité et de la Terre.
Il est certain qu’au temps de l’ancien testament, du Talmud ou même du Coran, peu de prophètes ont annoncés que l’homme marcherait sur la lune… celui qui peut le dire aujourd’hui est-il un menteur ? Idem pour l’évolution du taux vibratoire ou autre nouveautés …
Dans un autre domaine, il y a eu récemment l’élection de ‘Miss Monde’… très belle, c’est certain, mais franchement, est-ce que les organisateurs ont vu TOUTES les femmes du monde pour juger ?
Non, ils se basent sur leurs choix et jettent celles qui n’entrent pas dans les normes.
Et chez les prix littéraires, est-ce que les juges ont lu tous les livres édités dans l’année ? Toujours non. Ils sélectionnent ce qui entre dans leur cadre.
Et ainsi, nous pouvons constater facilement qu’un jugement se fait uniquement sur des points de vue limités et non universels.
Il est bon d’apprendre à voir au-delà de la fenêtre de nos limitations.
Agir en dimension supérieure, c’est reprendre sa responsabilité et s’unir à son être réel qui peut nous donner une aide incroyable.
C’est s’unir au soleil central et à la force divine.
C’est savoir que l’on est la source de l’aimantation de ce qui arrive et qu’en changeant la charge de l’aimant, il est possible d’attirer autre chose.
Et c’est co-créer sa vie telle qu’on la souhaite réellement et non la subir par l’attraction de nos peurs ou blessures d’âmes.
Je vais de ce pas nettoyer mon miroir…
Que le meilleur soit !
Joéliah©