Bonjour et beau moment présent et tout d’abord un grand MERCI pour vos réactions.
Merci pour vos mercis, pour vos soutiens, pour des dons spontanés, pour les deux personnes qui se sont abonnées, pour les nombreuses personnes qui m’ont demandé de continuer parce que ça leur faisait trop de bien et qui ne peuvent pas payer… et j’ose le dire devant l’expression de mon blues : merci aux 16 personnes qui se sont désabonnées, il n’y en a jamais eu autant d’un coup et aux deux qui ont cliqué sur indésirable… certainement une libération nécessaire désirée par l’énergie.
En fait, ce coup de blues n’est pas venu d’un manque d’argent ou de reconnaissance mais d’une déception à la suite d’un article que j’ai mis sur le site et sur Facebook pour deux petites filles qui ont faim en Inde et demandaient de l’aide par une amie de la lettre, qui les connait. J’ai aussitôt donné, presque instinctivement, mais l’association, en 8 jours, n’a reçu que trois dons alors que je pensai que beaucoup auraient donné, même 5€ et que les 780€ auraient été comblés en trois jours.
J’ai zappé l’accord Toltèque : ne pas avoir d’attentes. J’ai trop pensé que les autres étaient comme moi… snif. Toujours ma naïveté idéaliste du monde nouveau…
Et j’ai senti un déséquilibre sur le fait d’enseigner depuis des années la générosité, le don, la loi d’attraction, le donner pour recevoir, le passage à l’action, la compassion ou l’unité et de ne pas en voir les effets actifs, comme si toutes ces lettres ne servaient à rien. Et c’est là que les sentiments d’injustice et d’impuissance sont ressortis temporairement… sans donner le libre arbitre et ma compassion à chacun pour ses choix. Pardon, je suis désolée.
Alors j’ai médité à la pleine lune et demandé pardon à la vie pour cette expérience et à recevoir de la compassion, de la justesse, de la force, d’être bien guidée sur la suite à donner à mon travail et de l’amour inconditionnel et, selon l’habitude Antillaise, lui ai fait ma révérence en disant : ‘belle Dame de la nuit, je te salue et j’accepte en retour, ton plus beau cadeau d’amour’.
Et le lendemain matin, j’ai fait un rêve magnifique. j’ai ‘vu’ mon papa, parti au ciel depuis 31 ans, qui marchait dans un hall et me regardait. Il était magnifique dans son corps de gloire, jeune comme s’il avait une trentaine d’années et rayonnant. Ayant conscience que c’était un rêve et que ça ne durerait pas, je lui ai envoyé plein de bisous et lui ai dit ‘Papa, je t’aime’… il s’est approché et m’a pris dans ses bras… et je me suis réveillée avec une énorme joie au coeur. Merci la Vie ! C’est l’un des plus beau cadeau d’amour que je pouvais recevoir !
Depuis, j’ai eu aussi plusieurs propositions de partenariat pour proposer des aides pour améliorer la vie de ceux qui le désirent, alors tout est parfait !
S’il vous arrive un désaxement comme celui que je viens de vivre, surtout, recentrez-vous en méditant. Les autres sont toujours le reflet de programmes intérieurs inconscients activés.
Libérez-les et remplacez vite par d’autres programmes de paix, de justesse et d’amour et tout ce dont vous avez besoin.
Tout est parfait pour évoluer.
Merci pour cette leçon. Je vous envoie tout mon amour.
Que le meilleur soit !
Joéliah
Agir, rectifier, rajuster, agir…
Lorsque nous roulons accompagné d’un Guidage par satellite, la première chose qu’il met en action est de nous positionner sur une carte.
Si nous désirons être guidé pour aller vers un but défini, nous devons alors remplir les renseignements demandés pour la destination exacte ou approximative.
Et alors nous commençons à rouler en suivant les instructions. Parfois nous prenons un chemin connu au départ, et lui demandons simplement d’indiquer la zone inconnue.
Et, tout au long de la route, le parcours est rajusté. Parfois il nous conseille de prendre une autre direction plus libre ou de faire demi-tour si nous nous sommes trompé de chemin. Il signale les zones dangereuses, les travaux…
Nous avons tout le loisir de suivre ou non ces instructions. De nous fier à une carte papier qui nous parait plus fiable, ou, dans le meilleur des cas, de suivre notre propre connaissance ou de laisser aller notre côté aventurier et aller n’importe où. Si tout est fait en conscience, c’est tout bon.
Si nous oublions de nous souvenir du but… c’est plus embêtant car nous pouvons être à l’opposé de notre premier choix tout en ayant fait les mêmes gestes pour conduire.
Dans la vie, nous avons aussi un bon système de guidage. C’est notre connexion à la Source, à notre Être intérieur et c’est pour cela qu’il est important de prendre un temps, régulièrement, dans le silence, pour faire un bilan et demander si besoin, d’être conseillé pour une nouvelle route à suivre.
Si nous savons suivre les instructions reçues, la vie se passe merveilleusement bien. Un ressenti dans le plexus, un frissonnement ou une petite suée, peut nous indiquer qu’il y a une zone de perturbation à éviter. Chacun ayant ses appareils physiques de réceptivité.
Lorsque notre relation à la Source n’est pas bonne, notre Être nous donne des instructions plus percutantes pour nous prévenir du danger et nous faire réagir. C’est alors que nous pouvons avoir des petits chocs, coupures, blessures légères, brûlures, foulures, maux de tête, déprime passagère, sentiment de perte de temps, fatigue permanente, sentiment de ne pas être à sa place, perte d’argent modérée, réprimandes…
Si nous ne réagissons toujours pas, de la même manière que si le GPS indique une zone de ralentissement et que nous roulons trop vite, le risque de danger augmente. La dose de message préventif augmente et surviennent alors des maladies plus ou moins graves, des accidents, des chocs violents émotionnels ou sociaux, familiaux ou financiers.
Si nous apprenons à observer, nous avons tous des messages préventifs, mais n’y prenons pas toujours attention, accusant le temps, les autres, les circonstances… mais rarement nos attitudes.
Il est donc bon de prendre un temps de reliance, de repositionnement et se souvenir du but, ou du nouvel objectif a atteindre est donc indispensable pour être bien guidé. Cela permet d’éclaircir son esprit.
De vérifier régulièrement si nous sommes bien sur la bonne route où si nous n’avons pas dérivé en chemin et pour cela, bien imaginer le but à atteindre. Quitte à l’écrire à nouveau et à se rappeler pourquoi nous voulons y aller.
De libérer tout ce qui nous détourne du but, y compris ce que nous aimons bien et qui nous prend trop de temps ou d’énergie, les faux-amis, la procrastination, les doutes, la démotivation et accentuer nos choix sur ce qui nous en rapproche.
De lister les petites et grandes étapes à atteindre sur un mois, six mois, un an, 2 ans… et se réjouir chaque fois qu’une est atteinte. A l’occasion des grandes, s’offrir un cadeau…
Les parents le font naturellement en récompensant un enfant qui a réussi un bon trimestre scolaire, obtenu une bonne note ou un examen… alors récompensons notre enfant intérieur.
De se féliciter et rester axer sur l’étape suivante. Prendre un temps de repos et de méditation de vérification.
Tout ceci peut nous aider à vivre plus libre, serein et en union avec notre véritable nature.
Il est toujours dommage de voir une personne qui a un grand talent de dessinateur se voir réduite à la plonge dans un restaurant même si ce métier est utile ou une cuisinière de talent vendre des chaussures en rêvant aux pâtisseries qu’elle aimerait créer.
Et il y a des milliers de personnes qui triment dans un métier, râlent en le faisant parce qu’elles n’ont pas été bien aiguillées ou cru que ce qu’elles faisaient étaient ce qu’il y avait de mieux.
La bonne nouvelle ? Il est toujours temps de modifier sa destination et donc la route ! « Bison futé » va être content de nous voir lâcher l’autoroute souvent encombrée de l’oubli du vrai Soi !
Que le meilleur soit.
Joéliah
(Image sarahdesign 123rf.com)
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