Femme ou homme, esprit noble incarné dans un corps doté d’un mental intelligent.

Transmis par Joeliah le 30 - mars - 2017

Mu Malati, une femme consciente : « Quand un homme ne s’intéresse qu’à mon corps de femme, quand il ne veux que coucher avec moi, je suis blessée. Parce que je me sens dissociée. Cette attitude de l’homme dissocie ce que je suis : un esprit noble incarné dans un corps féminin doté d’un mental intelligent. Le tout ne faisant qu’un. Ce un étant un être humain noble et magnifique.

Tu ne les vois pas parce qu’elles se tiennent à distance des hommes. Beaucoup de femmes se cachent, beaucoup de femmes se sont soustraites au regard des hommes, ne supportant plus que leur corps soit consommé, puis rejeté.
Comme un objet sexuel, comme un objet de consommation. Cette attitude des hommes nous déshumanise.
La pub nous déshumanise. La pornographie nous déshumanise.
La pub et la pornographie ont créé des légions d’hommes qui consomment le corps des femmes, méconnaissant ce qu’elles sont d’autre, et les blessent.

Une légion de femmes se terrent, ne supportant plus d’être blessées, déshumanisées, dissociées.
Elles serrent leurs cuisses et elles murent leur cœur de femme. C’est pour cela qu’il n’y a plus une femme pour chaque homme.

Parmi les femmes qui se montrent, beaucoup se mettent à agir comme des hommes.
A force de subir l’agression des hommes (car être consommé est une agression, une violence subie), elles choisissent de (ou sont acculées à) prendre le rôle de l’agresseur.
Ceci afin de passer dans le camps du plus fort et ne plus subir cette violence sans combattre.
En psychologie, on appelle se retournement « l’identification à l’agresseur ».

Ces femmes deviennent consommatrices d’hommes ; choisissant pour sauver leur peau de prendre les armes, les mêmes que celles des hommes. Elles choisissent de combattre à armes égales.
Le comportement de ces femmes dissocient les hommes et font des ravages dans le cœur de l’homme.
La pub, reflet de notre société, déshumanise l’homme à son tour.
La pornographie de même, en ne montrant que son côté prédateur agressif, violent, abuseur.

Ces femmes ne s’intéressent qu’au corps des hommes. Elles consomment le corps des hommes, puis les rejettent.
Elles ne veulent que coucher avec eux. Leur comportement prédateur les blessent.
L’homme est dissocié dans ce qu’il est : un esprit noble incarné dans un corps masculin doté d’une mental intelligent.
Le tout ne faisant qu’un. Ce un étant un être humain noble et magnifique.

(NdJ :  parfois même, certaines femmes veulent devenir homme et alors deviennent leur propre ennemi intérieur, celui qu’elles critiquent, pensant défendre mieux les femmes)

Qui paye ce manque de respect ?

Les grands perdants dans cette triste histoire ne sont ni les femmes, ni les hommes, ce sont les enfants.
Les enfants qui ne grandissent plus dans une cellule familiale unie.
Qui n’ont plus un modèle cohérent pour se construire, un « mode d’emploi » de la relation femme-homme juste.
Les enfants grandissent dans un monde de femmes et hommes morcelés, incomplets car dissociés.
Les adultes blessés, coupés de leur propre cœur, ne fournissent pas à l’enfant qui les observe un modèle cohérent.
Ils ont besoin de s’identifier toutes les pièces du puzzle pour se construire.

Alors, une génération entière d’enfants est sacrifiée.

Il est temps de remettre l’amour en circulation… »
Mu Malati