Pépé était ce type de personne que tout le monde aimerait être.
Toujours de bonne humeur, il avait toujours quelque chose de positif à dire.
Quand quelqu’un lui demandait comment il allait, il répondait toujours : » Impossible d’aller mieux ! »
Il avait changé plusieurs fois de travail et plusieurs de ses collaborateurs l’avaient suivi.
La raison pour laquelle ils le suivaient était son attitude : C’était un leader né !
Si un de ses employés était dans un mauvais jour, Pépé était là pour lui faire voir le côté positif de la situation.
Un jour, je suis allé voir Pépé et je lui ai demandé :
» Je ne comprends pas… ce n’est pas possible d’être positif tout le temps Comment fais-tu ? »
Pépé me répondit : » Chaque matin, je me réveille et je me dis : « Pépé, tu as deux options aujourd’hui : tu peux choisir d’être de bonne ou de mauvaise humeur. Je choisis d’être de bonne humeur. Chaque fois que quelque chose de désagréable m’arrive, je peux choisir de me comporter en victime ou d’apprendre de l’expérience. Je choisis d’apprendre ! Chaque fois que quelqu’un vient se plaindre, je peux accepter sa remarque ou lui montrer le côté positif de la vie. Je choisis de lui montrer le côté positif de la vie. »
Oui, bien sûr, mais ce n’est pas si facile, lui ai-je répondu.
Sí, ce l’est, répondit Pépé. Tout, dans la vie, est une question de choix. Si tu simplifies, toute situation se résume à un choix. Tu choisis comment réagir devant chaque situation, tu choisis la façon dont les autres influencent tes états d’âme, tu choisis d’être de bonne ou de mauvaise humeur.
En résumé : Tu choisis comment vivre ta vie !
J’ai longuement réfléchi à ce que Pépé m’avait dit…
Pour des questions de résidence, nous avions perdu le contact, mais je pensais souvent à Pépé quand je devais faire un choix.
Plusieurs années plus tard, j’appris que Pépé avait fait une chose qu’il ne faut jamais faire.
Il avait laissé une porte ouverte et un matin, trois voleurs armés vinrent cambrioler sa société. Quand Pépé, tremblant de peur, essayait d’ouvrir le coffre fort, sa main glissa. Les voleurs pris de panique, lui tirèrent dessus.
On trouva Pépé relativement vite, on l’emmena d’urgence à l’hôpital.
Après huit longues heures d’opération et des semaines de réhabilitation intensive, Pépé sortit se l’hôpital avec encore quelques fragments de balle dans le corps.
Six mois plus tard, je retrouvais Pépé et quand je lui demandais comment il allait.
Devinez ce qu’il m’a répondu… » Impossible d’aller mieux »
Quand je lui ai demandé ce qui lui était passé par la tête le jour du cambriolage, il m’a répondu » Quand j’étais blessé, allongé par terre, je me suis souvenu que j’avais deux options, je pouvais vivre ou mourir. J’ai choisi de vivre. »
Tu n’as pas eu peur? lui ai-je demandé.
Pépé poursuivit : » Les médecins ont été fantastiques, ils ne se lassaient pas de me dire que tout allait bien se passer. Pourtant, quand ils m’ont emmené au bloc opératoire, quand j’ai vu l’expression sur leurs visages, j’ai vraiment pris peur. Je pouvais lire dans leur regard » Cet homme est un homme mort… ». J’ai alors su que je devais prendre une décision. »
Qu’as-tu fait? lui ai-je demandé.
Pépé me répondit: « Quand un des médecins m’a demandé si j’étais allergique à quelque chose, prenant une profonde respiration, j’ai crié : « Si, aux balles! » Pendant qu’ils riaient et je leur ai dit : » je choisis de vivre, opérez-moi comme si j’étais vivant, pas comme si j’étais mort ».
Pépé a survécut grâce aux médecins mais surtout grâce à sa surprenante attitude.
Il avait appris que chaque jour, nous avons le choix de vivre pleinement ou non.
En fin de compte, L’attitude, c’est tout ce qui importe.
Finalement, dans tout ce que tu es et comment tu te sens, comment les autres te voient, comment tu vis : Toi seul prend la décision, ceux qui se frustrent sont ceux qui n’ont ps su voir le côté positif de leurs résultats et de leur vie.
Source anonyme.
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