Tous les navigateurs qui participent à la traversée de l’Atlantique appelée « la Route du Rhum » ou autre courses océaniques d’importance sont de vrais professionnels de la mer qui en connaissent les secrets, les dangers et les joies.
Ils connaissent leur bateau à fond, qu’ils ont même parfois fait construire ou observé de fond en comble.
Ils en connaissent tous les recoins.
Ils se sont entraînés depuis longtemps, ont souffert, participé à des épreuves plus ou moins difficiles qu’ils ont réussis en vainqueur.
Après chacune, ils se sont remis en question, revu ce qu’il n’allait pas, corrigés, fait rectifier quelque chose à leur bateau ou à leur manière de naviguer.
Ils sont devenus de vrais amateurs professionnels.
Alors, seulement, après des années d’expériences et étant persuadés que c’est ce qui les portent le plus, ils osent s’aventurer à grande échelle.
Ils s’inscrivent à la course, ils laissent leur famille et amis pour un temps et partent au long cours.

Ils choisissent le chemin qui leur parait le plus adapté et ils partent à l’aventure, gardant le cap jour et nuit.
Ils se renseignent pour savoir où en sont leurs concurrents, quelle route semble plus rapide… et vogue le voilier de leur rêve sur l’océan de l’aventure et du plaisir.

A l’époque de Christophe Colomb, encore peu ont le désir d’aller à la découverte du nouveau monde : à quoi servirait de découvrir une nouvelle terre pensaient les européens de l’époque, la nôtre est bien suffisante.

Certains avaient la vision, désiraient plus et surtout de vivre différemment, plus librement et la course vers l’or à entraîné des milliers de personnes a aller de l’autre côté de la mer, dans ce pays vierge ou presque et promis à un avenir merveilleux.

Mais ils étaient encore dans la troisième dimension et sont partis parce qu’ils en avaient marre de leur condition, ou par avidité, ou encore pour fuir ce qu’ils détestaient. Certains y ont été mis de force parce qu’il étaient dérangeants pour leur gouvernement… et le nouveau monde s’est créé dans une vibration peu élevée, mais avec des grandes idées.

Sans chercher à comprendre leur mode de vie et sans les respecter, les Amérindiens autochtones ont été tués, parqués et ont dû s’adapter à ces hommes ou mourir. Les bisons si nombreux ont été massacrés par la construction du ‘chemin de fer’. Tout ce qui gênait a été éliminé par les avides qui voyaient là un nouveau continent à exploiter au maximum.

Et ce sont ces nouveaux hommes qui ont conquis la planète… en écrasant énormément, en anéantissant, en vivant à fond la conquête du monde de troisième dimension, utilisant la séparation de la Source, la peur et l’emprise de la circulation, de la communication, de la santé et des lois.

Le Tout, créé sur des pensées ‘pourries’ par l’inconnaissance des lois cosmiques.

A l’image de ces concurrents, les réveilleurs de conscience sont des professionnels de la Source. Ils connaissent les différents corps qui constituent leur véhicule terrestre et spirituel, passent des heures à l’entretenir et à nettoyer ce qu’il faut afin qu’il soit toujours opérationnel.

Ils connaissent la grande joie de naviguer sur le cours de la vie et de changer de cap si besoin pour aller à leur but principal : devenir des humains rayonnants la vie spirituelle. Des hommes et des femmes libres, heureux de vivre, respectueux de la vie, honnêtes, paisibles et serviables,
observateurs de la vie et en appréciant chaque instant.

La course actuelle est celle de « la Route du pur Homme » et l’arrivée se nomme la Nouvelle Terre du Royaume de l’âge d’Or. Elle est encore inconnue pour beaucoup d’humains mais ceux qui en ont la vision, savent que ce sera un nouveau mode de vie paradisiaque.

Très peu de concurrents sont inscrits pour l’instant et c’est à eux d’aller à la conquête de ce Nouveau Mode de vie, axé sur les vertus sacrés : foi et responsabilité, sagesse et reliance à leur être supérieur, amour inconditionnel sage, pureté de conscience, connaissance des lois de l’univers, liberté et audace d’Être eux-mêmes, persévérance dans leur vision et toujours savoir garder le cap vers le port de l’amour.

Avant et jusqu’à décembre 2012 la course était serrée et rapide, car il fallait avertir un grand nombre de personnes de cette possibilité afin qu’une majorité puisse s’entrainer et préparer tout ce qu’il fallait. Mais seule une poignée d’humain a fait ce sacrifice et ils sont partis à l’aventure d’un peu partout sur la terre. La Source coule partout et les routes sont multiples. Chacun est certain de gagner car l’amour est partout et le port peut être déjà là.

Mais alors que les vents de l’urgence sont tombés, beaucoup se retrouvent sans avancer, croyant qu’ils ont mal fait ou pris une mauvaise route. Ils ne comprennent pas le fait, que, faisant la même chose, plus rien ne fonctionne. C’est calme plat !

Que faire alors ? Simplement comprendre que c’est un état naturel normal et qu’ils n’y sont pour rien. C’est un moment pour se reposer, pour observer ce qui se passe autour, admirer le paysage, dormir ou appeler les dauphins, prendre des photos, écrire le roman de leur traversée, téléphoner à ceux qu’ils aiment. Moment pour se servir des réserves ou pêcher simplement les poissons qui s’offrent à la vie. Moment idéal pour faire de nouveaux plans et continuer de rêver à la Nouvelle Terre qu’ils vont bientôt découvrir.

Car le vent nouveau va se lever bientôt, mais nul ne sait exactement quand. Pour l’instant le soleil qui est très actif nourrit en abondance la terre de photons afin que TOUS les humains reçoivent plus de lumière.
La seule véritable action quotidienne a surveiller est de garder le bon cap, de se protéger des rayons puissants et de s’en servir du mieux possible.

C’est peut-être le moment de filmer des cours pour les marins de Source douce… afin que tous ceux qui voudront traverser en comprennent le mode de fonctionnement et surtout l’immense joie d’arriver au bon port.

Pour la Route du Rhum, l’arrivée est à Pointe-à-Pitre qui, en créole se dit seulement Lapwent… ce sont les conquérants qui ont rajouté « à pitre ».

Alors, c’est peut-être le moment de devenir la fine pointe des « pitres joyeux » de la Nouvelle Terre qui divertissent le public pour attirer son attention.

Que le meilleur soit !

Joéliah

C’est le calme plat mais si vous voulez et que le vent se lève …